Le groupe Sanef lance son nouveau badge de télépéage. Baptisé Bip&Go, ce service avance deux arguments : un abonnement en ligne et des tarifs attractifs.
Départ en vacances rime avec engorgement des péages d’autoroutes. Des bouchons qui peuvent atteindre plusieurs dizaines de kilomètres en période estivale, mais que l’on peut éviter aujourd’hui grâce au télépéage Libert-T. Problème : le boîtier n’est vendu que sur les aires de services des autoroutes.
Une contrainte corrigée par le nouveau badge Bip&Go du groupe Sanef. Avec lui, les automobilistes peuvent souscrire en ligne et recevoir leur boîtier magique chez eux ou sur leur lieu de vacances, dans un délai de 48 heures. Même les Belges et Luxembourgeois, circulant régulièrement en France, peuvent en bénéficier.
Bip&Go se veut économique avec des tarifs parmi les moins chers du marché. Il s’articule autour de trois offres :
- Une offre à la carte pour les rouleurs occasionnels : 1,6 €/mois, seulement les mois où l’automobiliste emprunte l’autoroute.
- Une offre au forfait pour les rouleurs réguliers : 1,2 €/mois, soit moins de 15 € à l’année.
- Une offre pour les professionnels : paiement différé jusqu’à 45 jours et relevé détaillé mensuel.
Un an de péage offert
Jusqu’au 31 août 2012, Bip&Go lance le jeu-concours SummerBip. A la clé : un an de péage offert. Pour y participer, il suffit de se rendre dans l’une des 19 agences du réseau ou directement sur Bipandgo.com, et de souscrire à l’offre au forfait avec le code promo : SummerBip.
Liber-T, comment ça marche ?
Au moment de franchir le péage, le boîtier émet un bip et la barrière se lève. Plus de monnaie à chercher : l’abonné reçoit la facture de sa consommation chaque mois, comme pour un abonnement téléphonique.
En plus d’être valable sur toutes les autoroutes de France, le pass Liber-T peut être utilisé dans plus de 200 parkings.
Liber-T a conquis près de 3,8 millions français depuis son lancement en 2001. Et à croire un sondage réalisé par l’Association des Sociétés Françaises d’Autoroutes (ASFA), 87% des abonnés disent ne plus pouvoir se passer de leur boîtier.